puis il y a eu laurel, la belle laurel, l'ange gardien qui a croisé ta route quand tu en avais le plus besoin, laurel vivait à new-york depuis peu, elle y faisait ses études, vous avez tout de suite accrochés, toi avec ton accent prononcé venu d'ailleurs et ton air perdu tu as touché la belle laurel qui n'a pas pu résisté à l'envie de t'aider et de la forte amitié en est ressortie des sentiments plus fort, toi tu avais perdu espoir en l’amour, tu savais que tu n’aimerais plus jamais aucun autre homme comme tu as aimé anton, tu t’es laissé aller dans les bras de laurel, par besoin de confort, persuadé tes sentiments envers elle.
(...)
depuis ta tentative de suicide tu tentes de te racheter auprès de laurel, tu vois bien qu’elle est blessée, tu as voulu l’abandonner et elle a du mal à te le pardonner même si elle cache des sentiments. (onze) tu n'as pas broncher lorsqu'elle t'as proposé d'aller vivre à cody pour un temps, pour t'aider à te retrouver, tu savais qu'elle voulait simplement t'aider, même si l'idée ne t'enchantait pas une seconde.
(...)
new-york, usa, 2010 - debout mon cœur, l'interview est dans une heure, dépêche-toi. Tu ronchonnes dans ton coussin, les yeux encore trop endormis pour pouvoir les ouvrir totalement. Où alors on annule et on reste au lit toute la journée ? Tu lui offres ton sourire charmeur, pas très convaincant avec les traits de ton sommeil agité sur le visage. Tu crois vraiment que ça marche comme ça babe ? Non. alors bouge-toi, t'as une carrière à gérer, c'est pas en restant sous la couette que ça fonctionnera. Tu soupires en capitulant, tu sais bien qu'elle a raison, comme toujours. Tu te décides alors à te lever et tu entames ta journée marathon en tant que leader du groupe the crow.

→ en gros, mikhail aime laurel, parce qu'elle a toujours été là pour lui, elle lui a un peu sauvé la vie, à l'instar d'elias (le co-fondateur de leur groupe) mais il est avec elle plus par dépit, par qu'il sait qu'il ne retombera jamais plus amoureux et que laurel a des sentiments pour lui, mais elle commence à entrevoir la réalité.