D’apparence, les Paige ont toujours attiré les critiques positives; famille unie, enfants bien élevés, donation généreuse à divers organismes, belle maison, pelouse bien tondue. Un charmant tableau dans lequel Mags a toujours eu la sensation de faire tâche. Evoluant dans cette hypocrisie dégueulasse, la petite dernière des Paige a toujours été le petit mouton noir, le boulet aux chevilles de sa famille, l’enfant sauvage. Peu soutenue, peu écoutée, peu surveillée, Maggie n’a jamais compris ce manque d’attention et d’affection à son égard et en a toujours souffert. Alors elle aura beau dire que sa famille elle s’en carre, qu’elle n’a pas besoin d’eux, Mags a toujours vécu avec ce vide dans la poitrine, qu’elle essaie de combler comme elle peut. Les Paige, elle s’en fout, mais seulement en surface. ☼ Son adolescence a été tranquille et plus ou moins stable, que parce qu’elle a su très tôt que si elle voulait se défaire de cette famille dysfonctionnelle, il lui fallait tout donner très vite. Alors elle était plutôt bonne à l’école, même si ça n’impressionnait personne, puisque son frère était bien meilleur - en tout, vous dira-t-on -, mais ça lui suffisait pour s’émanciper et se prouver à elle-même ce qu’elle valait. Maggie peut se targuer de s’être « faite elle-même ». ☼ Son rêve premier, c’était de devenir une grande artiste, de faire les beaux-arts, de vivre de ses peintures ou de ses dessins, d’avoir son nom en première page.. Mais les études associées à tout ça demandant trop de temps et, surtout, une participation financière à ses parents, Maggie a cessé ses études pour se mettre à travailler très vite et devenir indépendante. ☼ Elle a commencé très tôt à se venger de l’absence d’intérêt de ses parents à son égard. Les premières fois, c’était en faisant des fêtes à la maison, quand ils étaient absents. Puis ça a été en semant des capotes dans le salon, pour leur faire croire à une sexualité débridée. Ensuite elle a commencé à traîner avec des jeunes très différents de son entourage; entendez par-là qu’il s’agissait de jeunes pas aussi riche que les Paige. Finalement, elle a fini par les faire sortir de leurs gonds en se ramenant avec un tatouage puis en sortant avec Skylar. L’apothéose. ☼ Son frère a tenté d’entrer à nouveau dans sa vie, après l’accouchement de sa femme, pour que Maggie puisse connaître son neveu.. L’ennui c’est qu’elle a appris à vivre sans un frère aîné, alors son retour dans sa vie a été très mal vu par la jeune femme qui a vite mis fin à ses intrusions déplacées dans son intimité. ☼ Elle répètera à qui veut l’entendre qu’elle en à marre de Cody, qu’elle veut voir du pays, qu’elle veut voyager, mais elle en aura jamais le cran.. Par peur de la solitude et de l’abandon. Maggie a créer une vie toute entière ici, avec Sky et si elle s’en plaint comme d’un boulet, la vérité c’est qu’il est son ancre.. Alors partir quelque part sans lui, c’est peut être la crainte de découvrir qu’elle peut très bien vivre sans lui et ça, paradoxalement.. Ça l’angoisse. ☼ Peu le savent, d’ailleurs personne n’est au courant en réalité, pas même Sky, mais Mags rêverait de fonder une famille, une vraie.. Pas comme celle de ses parents, parce qu’elle donnerait tout à ses potentiels rejetons. Pour elle, ça lui vient surement du fait qu’elle n’a jamais eu la chance d’être une grande soeur, alors qu’elle en aurait rêvé. Souvent, elle s’interroge, à se demander ce que sa vie aurait été si les choses avaient été différente. ☼ Maggie a si peur de reproduire le schéma parental, c’est-à-dire de vivre une relation silencieuse, sans échange et sans trop d’amour, qu’elle se force à l’opposé.. Sauf qu’elle part souvent dans les extrêmes. Elle parle trop fort, elle cri trop, elle rit pas au bon moment et, surtout, elle aime avec trop d’ardeur et ça.. Croyez le ou non, mais ça lui fait terriblement mal. Parce qu’elle s’en rend compte, souvent trop tard. ☼ Ceux qui ne la connaissent pas la trouve vulgaire, irrespectueuse et méchante.. Allez savoir d’où ça vient, parce que même si Maggie ne s’extasie pas devant un bébé ou qu’elle ne pleure pas quand elle voit un reportage animalier sur les chiens écrasaient au bord de la route, elle a un grand coeur. Un coeur énorme même, si bien qu’elle se sent obligé de le protéger sous des airs de fille affirmée et grande-gueule, par simple peur qu’on le brise.. Et pour une fille qui s’est jurée de plus pleurer, en réalisant que ça ne lui apportait rien, c’est un gros défi.. ☼ C’est une adepte de la cuisine, pas qu’elle soit une grande cuisinière, c’est même rare qu’elle arrive à faire un plat sans qu’il crame, mais manger en tout cas, elle adore. Surtout les plats épicés. ☼ On peut lui prêter les pires défauts, mais Maggie ne boit pas, ou pas à outrance et ne se drogue pas non plus. Pas qu’elle a pas déjà essayé, comme une grande partie des jeunes de sa génération, mais parce qu’elle déteste l’idée de perdre le contrôle. Elle veut être en pleine possession de ses pensées et de son corps quand elle dit ou fait quelque chose. ☼ Elle regarde très peu la télévision, suit rarement des séries et comprend généralement peu les conversations qui ont pour sujet le résumé d’un épisode de la veille. Pour elle c’est juste de la télépoubelle désormais, donc elle préfère foutre le nez dehors que de se coller au fond du canapé. De toute manière, elle s’endort toujours quand on allume le petit écran.. ☼ Maggie est claustrophobe, à tel point qu’elle n’est même pas capable de prendre l’ascenseur parce que l’idée de se retrouver enfermée dans une petite boite qui pourrait, en cas de catastrophe, faire une chute libre du dernier étage et s’écraser.. Elle a beau avoir tenté de se soigner, ça ne passe pas et les crises d’angoisses associées à sa peur sont parfois complètement ingérables. ☼ Niveau sport, elle adore le football américain et le rugby, surtout le rugby en fait. C’est une fan invétérée de l’équipe australienne, parce qu’elle trouve le capitaine de l’équipe charmant.. Elle adore aussi les matchs de la Nouvelle-Zélande, surtout pour le Hakka. ☼ Mags rêve sa vie.. Ou, plutôt, elle rêve ses vies, s’imagine toujours dans des situations rocambolesques ou, plus souvent, tellement simples que lorsqu’elle regarde sa vie elle s’aperçoit du niveau de difficultés.
☼ PSEUDO/PRENOM : A.Fall ☼ AGE : 25 ans. ☼ SCENARIO OU INVENTE : Scénario de Skylar. ☼ VOS IMPRESSIONS SUR MH : Qu'il envoie du pâté . ☼ COMMENT AVEZ-VOUS TROUVE LE FORUM : facebook je crois..
Dernière édition par Maggie Paige le Mar 15 Mar - 14:23, édité 8 fois
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Sujet: Re: Mags + how deep is your love ? Dim 13 Mar - 19:53
ONCE UPON A TIME It was a big big world, but we thought we were bigger Pushing each other to the limits, we were learning quicker By eleven smoking herb and drinking burning liquor Never rich so we were out to make that steady figure
Le silence grésille, s’efface, ruiné par les premières notes de guitare qui s’échappent du disque, qu’elle replace dans le lecteur pour le relancer. Sans faire de bruits, elle se rallonge sur le sol, les mains sur le ventre, les battements de son coeur qui se font écho au creux de son estomac, la tête lourde et Janis Joplin qui fait vibrer ses tympans. « Loneliness come botherin' 'round my house » ses paupières se ferment et elle remue doucement les pieds ignorant, volontairement, les cartons qui s’amoncellent dans un coin de la pièce encore nue, impersonnelle et froide. Les Paige viennent d’emménager à Cody et c’est comme si toute sa vie venait d’être bafouée, parce qu’elle a ce talent adolescent qui la pousse à faire d’une situation minime le pire des châtiments. Elle a menacé de s’ouvrir les veines, mais à l’idée de s’en sortir avec des cicatrices, elle a changé d’avis. La fugue s’est aussi dessinée comme la solution de facilité, le souci étant qu’ayant usé son argent de poche du mois dans des docks martens, elle a du revoir à jour son programme. Tout ce qui lui reste, c’est le silence et de porter sur ses traits le deuil de son ancienne vie; une chose qui n’a pas l’air de réellement déranger sa famille, cela leur donne au moins de quoi se reposer, quand elle les soule continuellement de toutes les choses inutiles qu’elle apprend en lisant des magasines sans intérêts. « Arrête de pleurnicher sur ton sort.. » La porte ouverte sur Jeremiah, son frère, Maggie feint l’ignorance et se redresse pour augmenter encore un peu le volume sonore. « T’es vraiment une princesse, c’est dingue. » Il ne comprend rien. Il n’a jamais pris le temps de comprendre, de toute façon, parce qu’en fier fils aîné et unique garçon, il a autre chose à faire que de s’occuper de sa cadette. C’est pas grave; Maggie a fait son deuil, depuis longtemps, de ses espoirs de relation fraternelle idéale. « Fous moi la paix. C’est pas parce qu’on a déménagé, qu’il faut changer les règles. A commencer par frapper avant d’entrer dans ma chambre et, ensuite, t’occuper de tes affaires. Elle se relève sur ses coudes et le dévisage. Parce que penses bien que si j’ai besoin d’un conseil, ou d’un avis, j’irais le demander au facteur en priorité. » Il se moque d’elle et claque la porte, l’abandonne à son désarroi, son coeur plus lourd à son départ qu’il ne l’était avant son arrivée. On prend encore sa réaction pour un nouveau moyen de se faire remarquer, mais personne ne prend le temps de l’écouter, de comprendre que son chagrin n’est pas seulement du au fait d’avoir changé de maison.. C’est d’avoir du quitter un groupe dans lequel Maggie a réussi à s’intégrer, trouvant sa place dans une famille choisie à défaut d’être un membre à part entière de sa meute d’origine. Elle avait fait son trou. Et voilà qu’elle se retrouve dans un lieu inconnu, dans une maison trop grande et froide, dans une école de ringards et, surtout, seule. Encore. Toujours. Alors ses doigts appuient sur le lecteur, remontent le son et Janis l’accompagne, intensifiant un peu plus le sentiment de solitude qui lui crève le coeur.
Elle reste assise là, à regarder les autres rire, vivre, tandis qu’elle se laisse bouffer par sa morosité dégueulasse. Les adolescents n’aiment pas la mélancolie, parce qu’ils n’en comprennent pas le sens et, aussi, parce qu’ils craignent que ça soit contagieux, un peu plus que les MST qu’ils s’échangent comme des gamins s’échangeraient leur goûter. Maggie pue la solitude et, donc, par une association plus ou moins cafouilleuse, on s’imagine que sa tristesse maladive pourrait bousiller leur moral au beau fixe. Faut dire qu’ils ont tous des plans pour leur week-end, alors qu’elle, elle devra encore s’enfermer dans sa chambre, pour un nouveau mois sacrifié par sa dernière connerie en date. « Tu vas pas à la soirée de Tommy ? » Son regard se lève et dévisage la fille qui se plante devant elle, une camarade du cours de chimie qui trouve toujours le moyen de ne pas avoir la même écriture sur les devoirs qu’elle rend, sans jamais en être l’auteure.. Bien que ça ne semble gêner personne, sauf Mag. « Je peux pas.. » Elle pourrait mentir, balancer qu’elle a d’autres trucs de prévus qui seront surement aussi spectaculaire qu’une fête chez ce playboy arrogant et détestable.. Mais ça serait mentir. Parce que de toute façon, rien ne peut être aussi exaltant qu’une soirée organisée par cet abruti. C’est pas le genre de fille qui cherche la popularité, ça serait même plutôt l’opposé, mais qui serait assez fou pour bouder devant la perspective de passer un agréable moment en se défoulant sur une musique de merde, en compagnie d’une bande d’idiots adeptes de jeux sans intérêts qui on fait les récréations de leur parents, mais qu’on trouve tellement « chouette » qu’on les remet au goût du jour. « Je suis punie. » Elle s’attend à une blague, à ce que la pimbêche se moque d’elle, mais c’est le contraire qui se produit; elle s’assied sur la place libre près de Maggie et lui envoie un coup d’épaule. « Tu sais, si je devais me priver de sortir quand mes parents le font.. » Elle est pas sûre de comprendre ce qu’elle dit, tout comme Margaret n’est pas franchement convaincue qu’elle soit bien partie dans la vie, si elle bafouille d’entrée comme ça, mais l’idée d’ensemble se fait. Quitte à être enfermé pour un mois, autant continuer, qu’est-ce qu’on pourrait bien lui faire subir de pire ? Elle fera le mur, comme tous les adolescents de son âge, passera un moment assez mitigé en compagnie de gamins d’un monde qu’elle déteste et se fera pincer en rentrant parce que son dégueulasse de frère l’aura balancer contre la chance de pouvoir partir deux semaines en Australie avec ses copains, cet été. On lui balancera qu’elle file du mauvais coton et, en partant de là, Maggie n’aura plus de cesse de leur prouver à quel point c’est vrai.
Elle à ce regard des gens qui savent où ils vont, alors qu’au fond elle en a aucune idée, les pieds vissés au goudron, à le regarder s’éloigner par le trottoir d’en face. Son odeur incrustée dans sa peau, la couleur de ses yeux placardée entre les neurones déconnectés de son cerveau malade. Il est un passe-temps, une arme de destruction massive contre l’éducation de ses parents qui se veulent bon chrétien, bon pédagogue et garde-fou.. Elle a tout faux. L’arroseur arrosé comme on dit. Skylar n’est plus seulement l’échelon supplémentaire de son baromètre de la folie, qui ne cesse de grimper à mesure que ses géniteurs se confrontent à ce caractère plus dur, toujours plus fougueux que leur fille témoigne. Skylar n’est plus seulement un jeu, il est sa maladie et à mesure que les jours, les semaines et les mois, passent, Maggie perd la volonté de se battre pour en guérir. Il lui ronge le corps jusqu’à l’os, jusqu’à l’âme et elle, incroyablement docile, se laisse faire en appréciant la sensation d’être, d’exister en tant qu’humain à part entière, quand il pose les yeux sur elle. « T’es pas sérieuse bordel.. Tu devrais le larguer, vraiment, il t’apportera que des emmerdes. » Aux détracteurs, aux amis qui cherchent à la protéger par des moyens misérables, elle sourit sans s’arrêter. Personne ne peut comprendre, ni même prétendre s’y essayer, parce qu’ils n’ont pas conscience qu’il existe. Et que le simple fait que son existence toute entière se soit brutalement heurté à la sienne, sans ménagement, sans lui laisser le temps de respirer, c’est l’une des meilleures choses qui lui soit arrivé. Il lui fait prendre conscience de ce qu’elle est, que ses pensées ont une importance, que sa place ici est légitime, que son corps n’est pas seulement fait de chair mais de minuscules petits points sensibles qu’il actionne d’un simple toucher, que le désir est le sentiment le plus normal, parce qu’il en est l’objet. « Je l’aime. » Et dans sa bouche, soufflé entre ses lèvres à peines ouvertes, c’est plus que quatre mots simples et fébriles. Il est le commencement du premier jour de sa vie et, malgré elle, Maggie se dit qu’il sera le point final de son existence toute entière.
Ceux sont les mots qui l’ont achevé, les réprimandes perpétuelles, les critiques interminables et le sentiment de ne jamais être à la hauteur. Le lycée fini, le frère parti pour l’université, sans elle, en l’abandonnant à l’arrière sans un regard, sans même une ultime tentative d’un rapprochement quelconque, Maggie s’est retrouvée seule. Encerclée, aimée, mais irrémédiablement seule à lutter contre une autorité dégueulasse, écoeurante et amère. A ses sacrifices, on a préféré voir de la fainéantise et Maggie a claqué la porte. Une ultime fois. Du mi-temps, elle s’est mise à passer tout ses jours chez le tatoueur local, évoluant du statut de simple stagiaire à celui d’apprenti. On est loin des beaux-arts, des rêves de grandeur, des clichés d’une vie rêvée accrochés sur les murs des musées, des expositions, de son nom tout en haut de l’affiche.. Mais à choisir entre ses rêves dérisoires et sa liberté, Maggie n’a pas hésité. Elle aurait cru ressentir un peu de tristesse, de désarroi et de peur, en quittant le domicile familiale mais, paradoxalement, ceux sont la béatitude et l’exaltation qui l’ont traversé qui lui ont brisé le coeur. Aucunes attaches que celles créaient par ses propres moyens. A sa chambre d’adolescente s’est substituée un appartement un peu petit, un peu étroit mais immense à ses yeux, capable d’étouffer, entre ses quatre murs, les secrets et les soupirs les plus intimes. Les années ont fait leur chemin, ravageant sa mémoire de souvenirs impérissables et son coeur d’émotions tumultueuses. Aux nouveaux meubles de son nid s’est ajouté Skylar, mêlant à l’excitation d’un futur à deux, les aléas de la vie de couple. De leur vie de couple. Et puis.. « Tu devrais te mettre à ton compte, je peux t’aider si tu veux. T’as vraiment du talent kiddo. » La figure paternelle tant désirée, elle l’a plus ou moins trouvé, bien planquée sous la couche épaisse de poils pendus au menton du tatoueur qui lui a tout appris. L’éclairci d’un nouvel envol, d’un nouveau chapitre, d’une nouvelle éclaircie parsemée de l’ombre des ravages d’une passion douloureuse. Contre toute attente, Maggie devient une adulte.. Au coeur d’enfant.
Dernière édition par Maggie Paige le Jeu 17 Mar - 18:24, édité 8 fois
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Sujet: Re: Mags + how deep is your love ? Dim 13 Mar - 19:54
Tu fais un excellent choix en nous rejoignant ! Puis, le fait de prendre le scénario de Skylar, c'est que tu as bon goût Bienvenue sur MH !
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Sujet: Re: Mags + how deep is your love ? Dim 13 Mar - 20:00
Bienvenue et bon courage pour ta fiche ! Scénario qui dépote ! J'adore Zoë Il faudra qu'on se trouve un lien !
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Sujet: Re: Mags + how deep is your love ? Dim 13 Mar - 20:14
Bienvenuuuuuuuue Zoé
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Sujet: Re: Mags + how deep is your love ? Dim 13 Mar - 20:18
Ok ton début de fiche m'a butée j'aime déjà ce qui se dessine de Maggie Alors bienvenue officiellement parmi nous, et encore merciiiiiii d'avoir tenté mon scénario !
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Sujet: Re: Mags + how deep is your love ? Dim 13 Mar - 22:09
Ce scénario !! Bienvenue parmi nous ma jolie !!
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Sujet: Re: Mags + how deep is your love ? Mar 15 Mar - 15:10
Tu as obligation d'en faire baver à Skylar
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Sujet: Re: Mags + how deep is your love ? Mar 15 Mar - 15:19
Robyn avec la jolie Amber ! Super choix. Merci à toi ma jolie
Sebastian T’es canon!
Sky je t’ai à l’oeil toi (la moustache c'pour me fondre la masse et passer inaperàue), méfie toi parce que tu vas la sentir passer la prochaine , j’te le dis hein.
Ohana, merci
Elizabeth. Je sais pas si je dois le dire ou pas, mais franchement, si tu savais comme j’ai hésité entre ce scénar et le tien .. Franchement.. C’te migraine que tu m’as filé toi aussi ! Merci à toi ma poulette, nous faudra un lien bon sang!
Promis, au nom de toutes, je lui en ferai baver sévère
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Sujet: Re: Mags + how deep is your love ? Mar 15 Mar - 16:08
Tu as hésité avec Alexandra Park ? Haan ne t'inquiète pas, Skylar est content que tu sois là donc c'est plus important Désolée pour ta migraine en tout cas Je me rattraperai pour le lien ! Dès que tu es validée, je viens vers toi par mp
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Sujet: Re: Mags + how deep is your love ? Mer 16 Mar - 18:42
Elizabeth Warrens a écrit:
Tu as obligation d'en faire baver à Skylar
non mais ! Je suis le petit ami parfait, j'vois pas pourquoi elle devrait m'en faire baver ?!! *s'étouffe dans sa propre connerie*
Vas-y comment j'ai envie de lire la suite, tellement j'aime ta façon d'écrire
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Sujet: Re: Mags + how deep is your love ? Jeu 17 Mar - 23:13
Elizabeth Warrens a écrit:
Tu as hésité avec Alexandra Park ?
Avec Scott Eastwood
Fais gaffe, Sky, beaucoup de gens meurent en avalant leur salive de travers, ça serait bête de finir comme ça
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Sujet: Re: Mags + how deep is your love ? Ven 18 Mar - 16:06
vais faire attention à ma salive alors... ;_;
Oui donc, comment te dire que Maggie sous ta plume devient une déesse à mes yeux Tout est parfait, ça colle tellement à l'image que je m'en étais faite, j'adore, je suis fan, les mots me manquent Eliza, pour moi, tu peux valider la belle, on de l'amour à s'envoyer en pleine face
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Sujet: Re: Mags + how deep is your love ? Sam 19 Mar - 14:06
Cette plume J'adore déjà Maggie Je te valide avec joie et j'ai hâte de voir ta miss évoluer à Cody